Me promenant dans la ville, j'était dans ma bulle lorsqu'en levant la tête je vit ce bâtiment blanc, je le détestait, le haïssait, le maudissait. Il était la preuve que la chance n'était pas avec moi à cette époque, elle ne l'est toujours pas d’ailleurs... Cet hôpital était le signe de la mort de ma famille, je n'aimait pas mes parents, mais j'aimais ma soeur, morte assassinée par ces bâtards de cambrioleurs. Je continua ma marche, la chanson suivante fut My Immortal d'Evanescence. Cette chanson me rappela les bons moments que j'avais passer avec Chika. Mais ce fut de courte durée. Sans le vouloir, mon chemin se continua dans la rue de ma maison, je tomba sur celle-ci, toujours en cours d'enquête. Je décida de faire profil bas pour ne pas me faire attraper par les flics, je ne voulais pas quitter cette ville sans avoir tuer les assassins de ma soeur. J'accéléra le pas pour arriver quelques minutes après de l'autre coter de la rue. La rage me monta au joue et je frappai dans une vitre d’arrêt de bus. Mon poing était ensanglanté, je ne sentais pas la douleur de suite, alors je continuai. Un bout de verre vint se loger dans mon doigt. Je reparti finalement à l'hôpital pour me faire retirer le bout de verre. Cela fut rapide, une femme s'approcha de moi et posa quelques questions.
_Où vivez vous ?
_Au pensionnat Hariyuku
_Votre nom s'il vous plait.
_Je ne vous le donnerai pas
_Pourquoi ça ?
_Ce sont mes affaires, merci de votre service, mais je dois partir maintenant !
Je me leva et parti vers la porte. Je ne devais pas rester plus temps de que je devais dans cet établissement de l'état. La police me cherche pour m'envoyer en maison de redressement, mais jamais il m'aurons... Pourquoi ? Parce que je n'ais pas le droit de partir. Je dois la venger coûte que coûte, quitte à être rechercher par la police et les services sociaux. Je savais que le proviseur du pensionnat me protégerais, il m'en a fait le serment.
Flash back.
-Je viens m'inscrire en urgence !
-Encore un cas d'urgence ? Expliquez moi votre cas mademoiselle.
-Je ne peux rien dire...
-Les murs de cette école protège beaucoup de personne, vos secrets seront bien garder ici.
-Les services sociaux me cherchent parce que je n'ais plus de famille, mais je dois venger ma soeur et...
-Nous vous protégerons mademoiselle, tant que vous ne rapportez pas vos ennuis ici, tout ira pour le mieux.
-Je vous le promet monsieur.
-Au fait, quel est votre nom ?
-Je suis Nobue Itô.
-Bien bien Nobue Itô, bienvenue dans notre école.
-Merci monsieur le proviseur.
fin flash back.
Je retourna au pensionnat, me jeta sur mon lit et me mit à penser. Je me tourna et vit que le quatrième était occuper par des affaire masculine.
*Tient un nouveau. Je me demande quelle tête il a ?*
Sans prêter plus d'attention a cette affaire, je me retourna et retourna dans les bras de Morphée. La chanson de Chika tournait en boucle sur mon Ipod. Mistral Gagnant